Deuxième jour sur place, encore trop fatigués pour prendre
la route. Le lit spacieux du camping-car est un délice, après les deux nuits
inconfortables passées dans l’avion, mais nous n’avons pas encore récupéré
complètement. Surtout que nous avons été réveillés en sursaut en pleine nuit
par des rires de singes… Je vous entends d’ici. Des singes ? En
Australie ?! Eh bien, vous avez raison de vous étonner. Ce sont en fait
les hurlements des kookaburras, oiseaux aux plumes ébouriffées ressemblant à
des grosses peluches ! Assez surprenant…
Le kookaburra |
Mission de la matinée : récupérer une clé pour pouvoir
nous connecter à Internet tout au long de notre voyage. Après un passage chez
Telsra (le France télécom local), c’est chose faite.
Nous pouvons donc aller crapahuter un peu l’après-midi. Le
camping donne sur un petit parc avec une rivière en contrebas, bordée par une
forêt. Tout semble différent ici. Le plus étrange ? Les bruits de la
forêt.
Pas de chants mélodieux d’oiseaux, mais des cris métalliques et perçants
(qui me font étrangement penser aux cris des ptérodactyles dans Jurassik Park).
Les fautifs ? Les Sulphur crested cockatoo, un cacaotès très répandu en
Australie. Ils s’interpellent d’une rive à l’autre et font un boucan
d’enfer !
De petits oiseaux noirs n’ont rien à leur envier : eux imitent les alarmes des voitures ! Pas très apaisant tout ça…
De petits oiseaux noirs n’ont rien à leur envier : eux imitent les alarmes des voitures ! Pas très apaisant tout ça…
Un cockatoo |
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