Partis de Roissy le samedi soir à 23h30, nous posons le pied
sur le sol australien… le lundi matin à 9h heure locale ! Dur, dur !
Plus de vingt-quatre heures de vol, c’est long, très long !
Pour nous souhaiter la bienvenue, comptez sur les douaniers.
On n’a pas encore vu l’Australie que le porte-monnaie a déjà souffert… Eh oui,
ce n’était peut-être pas une si bonne idée que d’acheter trois cartouches de
cigarettes en duty-free : seules 50 cigarettes sont permises. Au choix
donc : payer de fortes taxes ou jeter les paquets déjà payés en France (maudite
soit l’addiction à la nicotine de mon cher mari !!).
Bagages récupérés, nous tenons à peu près debout même si le
décalage horaire se fait sentir. Direction l’agence de location pour prendre
possession de notre camping-car.
Une fois les clés en main, ça se complique. C’est qu’il est
gros, ce machin, très gros : trois mètres de haut, deux mètres quarante de
large et plus de sept mètres de long… Fichtre !
La bête |
Pour rajouter au challenge, je rappelle que les Australiens
conduisent à gauche. Je résume donc : un gros véhicule, huit heures de
décalage horaire, des rues pleines de voitures et de piétons, une conduite à
gauche, pas de carte et une vague direction pour le camping le plus proche…
C’est parti !
Une intersection prise dans le mauvais sens, plusieurs
automobilistes énervés, et quelques frayeurs plus tard, nous voici enfin au
camping ! À peine vingt kilomètres de trajet, mais nos nerfs ont été mis à
rude épreuve. Mon homme est un conducteur bien fatigué quand nous posons nos
bagages au « Lane Cone river park », recommandé par l’agence de
location.
Pas l’envie de se pauser, on risque de s’effondrer. Nous
filons en train vers le centre commercial le plus proche : il faut remplir
le frigo et les placards ! Le mall est gigantesque, il y a même une
patinoire à l’intérieur !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire